Devoir de réserve ou pas ? Harcèlement moral ou pas ?

  • TARNOS POUR TOUS - Marie-Ange DELAVENNE
Devoir de réserve ou pas ? Harcèlement moral ou pas ?
Il est important de connaitre le collaborateur politique du Maire, notamment lorsque ce dernier est particulièrement actif sur les réseaux sociaux.
 
Employé par la commune de Tarnos au poste de directeur de cabinet du Maire, après s'être affiché en soutien à son candidat le Maire de TARNOS sur les réseaux sociaux lors des législatives, il a ensuite fortement critiqué le président de la communauté de commune.
 
En ce moment il s'acharne particulièrement sur la conseillère municipale tarnosienne de cette même commune qui l'emploi, alors qu'il est logiquement tenu au devoir de réserve.
 
 
 
 

Ce Monsieur "balance" sur les réseaux sociaux la condamnation de la vice-présidente pour diffamation envers le Maire de Tarnos mais omet bien sûr de préciser qu'il s'agit d'une condamnation pour l'utilisation du mot "traficoté" et non de malversations financières, de harcèlement moral, ou autre...

Devoir de réserve ou pas ? Harcèlement moral ou pas ?
Cette omission intentionnelle de l'employé communal tarnosien, cache bien sûr l'intention de faire croire qu'il s'agit d'une condamnation bien plus grave afin de nuire à l'intégrité de la conseillère municipale de la commune qui l'emploi et vice-présidente de la Communauté de Communes du Seignanx.
 
On se rappelle pourtant qu'il est bien au courant de l'affaire puisqu'il en a été le premier instigateur et qu'il était présent pour soutenir son employeur le Maire, à toutes les audiences au Tribunal.
 
C'est encore cet employé municipal et non le Maire qui échangeait par mail interposé avec le groupe "Tarnos pour Tous".
 
En surfant sur le net, nous avons trouvé un article de l'humanité qui date de 2005 et qui concerne l'actuel directeur de cabinet du Maire de Tarnos.
 
Voici quelques extraits de l'Humanité :
 
"Ex. collaborateur parlementaire du député PCF Maxime Gremetz Frédéric Hardy a été accusé d' « harcèlement moral » auprès de l'une de ses collègues, embauchée à la permanence de l'élu.
 
L'employée a dénoncé son comportement à son égard, ayant rapporté auprès de la direction départementale du travail des « pressions psychologiques » dont elle aurait été victime.
 
Une accusation réfutée par l'accusé visé par la procédure entamée par Maxime Gremetz. Le député de la Somme de son côté a produit une lettre de la direction départementale du travail l'exhortant à faire cesser ces agissements.
 
Celui-ci a bien sûr reçu le soutien de la fédération du PCF on travaille en famille chez les communistes.
 
De son côté, Frédéric Hardy avait porté plainte pour diffamation à l'encontre du député, à la suite de ses déclarations les mettant en cause dans les médias, ainsi qu'envers ses soutiens, Jean-Luc Belpaume, conseiller régional communiste, et la salariée de Maxime Gremetz qui a formulé les griefs envers ses collègues... "
 
Nous ne connaissons pas la suite de cette affaire. Si vous avez des informations n'hésitez pas à nous les transmettre.
(Ci-dessous l'article dans son intégralité)

Suite à la publication de cet article sur le facebook de Tarnos Pour Tous, M. Frédéric HARDY a répondu à notre question concernant la suite de cette affaire. Ci-dessous nos échanges :

Devoir de réserve ou pas ? Harcèlement moral ou pas ?

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